Image 2 : Éléments de filtre en profondeur et de filtre à membrane LifeTec
« Nous effectuons nous-mêmes un grand nombre de tests individuels dans notre propre laboratoire. Des tests sont également effectués par les autorités et des laboratoires indépendants afin de garantir le respect de normes strictes. Ceci est un défi constant pour l’intégrité des processus au sein de notre usine. C’est dans ce genre de cas que la technologie de filtration se révèle être une contribution décisive », explique Lukas Schellenberg, responsable de la production chez Haaner Felsenquelle. Il déclare : « Bien que je ne puisse qu’estimer le nombre de filtres individuels, il y en a certainement plus d’une centaine. » (Image 2)
Solution
Utilisation d’air comprimé à haut degré de pureté à l’aide de systèmes de surveillance spéciale
Bien que l’air de procédé à 8 bars soit produit par deux compresseurs à vis sans huile, il doit quand même être nettoyé par des filtres à air comprimé et un absorbeur à charbon actif après séchage. Cela garantit une qualité meilleure que celle de la classe 1 conformément à la norme DIN ISO 8573-1: 2010, ce qui implique une teneur en huile résiduelle inférieure à 0,01 mg/m³ et une densité de particules inférieure à 0,1 mg/m³. L’embouteilleuse pour les bouteilles en PET a une capacité de traitement de 13 000 bouteilles par heure et est alimentée en air comprimé de 30 bars à l’aide d’un compresseur à piston, qui, comme les compresseurs à vis, fonctionne sans huile. Pour garantir une pureté optimale de l’air, des filtres haute pression spéciaux et un filtre stérile P-SRF sont utilisés pour éliminer la contamination par des bactéries et des particules lors du processus de soufflage.
« Nous sommes très attentifs à l’ensemble du traitement de l’air comprimé. Ici la priorité est d’assurer la conformité aux exigences de stérilité, de rétention des particules et de la consommation d’énergie des deux compresseurs de 30 kW. Celle-ci est influencée de manière non négligeable par la pression différentielle des filtres », explique M. Schellenberg. »